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dimanche 10 février 2013

Never return

Je connais une jeune fille de ma classe qui pratique du piano. Je ne suis pas son amie, mais elle habite en face de chez moi, et je l’entends souvent jouer. Cette jeune fille n’a pas beaucoup d’amis. A vrai dire, elle est lunatique. Ses humeurs changent souvent, je le remarque quand la nuit, elle joue des airs effrayants au piano.

 
D’ailleurs, son instrument fait un bruit très fort, au milieu de la nuit, je me demande si ses parents la laisse jouer, ou tout simplement qu’ils ne soient pas là, mais c’est assez étrange du côté que parfois, il y a cours le lendemain. Le soir, quand il est très tard le week-end et que je reste sur l’ordinateur, je la vois assise devant son piano à travers la fenêtre. Cette fille est magnifique. Une blonde. Une fausse blonde. Aux cheveux noués, et une frange qui lui cache presque son œil droit. Ses yeux sont bleus, très clairs, mais son regard est toujours vide, à l’école, elle reste seule. Elle lit souvent un livre nommé Une île, rue des oiseaux. Un livre que j’ai lu, qui parlais de Juifs dans un ghetto, et qui se faisaient tués un par un, dans les pires souffrances. 


 
Cette semaine, Noémie, c’est son nom, n’était pas là. Durant une semaine, on ne l’a pas vu en cours, ni nulle part. Son absence se faisait ressentir, l’ambiance était lourde. Ses volets étaient fermés, je n’entendais plus aucun son provenant de sa maison. Puis un Lundi matin, elle a réapparu. Mais au long de cette semaine d’absence, tout le monde l’avait oublié. Même le professeur avait oublié de prononcer son nom...

 
Au bout d’un mois, elle a disparu à nouveau. Mais un soir, j’ai ré-entendu le son de son piano, un air de tristesse, voire dépressif, alors je me levai de mon lit, il devait être 3h du matin, quelque chose comme ça. A la fenêtre, je m’appuyais sur mes deux coudes, et j’écoutais la mélodie, n’ayant pas remarqué qu’elle m’avait vu, puis quand j’ai remarqué qu’elle s’était arrêtée de jouer, j’ai levé la tête, elle me regardait depuis sa fenêtre. Puis elle éteignait la lumière, après ça, je suis repartie me coucher.

 
 C’est que le lendemain, qu’elle est revenue. Puis au bout d’une semaine elle a encore disparu. Épuisée par son absence, tous les gens de ma classe et moi-même sommes venus lui rendre visite chez elle. La porte était ouverte, alors je suis rentrée tandis que les autres restaient dehors, il n’y avait personne. Les volets étaient clos, ne laissant passer que très peu de lumière, je visitai et tomba sur la fameuse pièce au piano. Je m’assis sur le siège qui était devant, et commença à jouer quelques notes, le son était affreux. Comme si le piano ne marchait plus. Pour trouver la solution à ça, sans que Noémie revienne et trouve son piano cassé, et qu’elle pense que ce soit moi, j’ai soulevé la partie arrière de celui-ci. Et j’ai compris pourquoi il ne fonctionnait pas. Il y avait deux cadavres qui bloquaient les cordes. Une femme, et un homme... Un père, et une mère...
 

 
J’essayais de sortir les deux corps en appelant à l’aide, espérant que les autres dehors m’entendent, quand le piano s’est mis à jouer, seul. Je laissai les cadavres sur le sol, et m’assis devant le piano. Je pris la tablature cachée derrière d’autre feuilles sur un meuble, et lis le titre de la chanson.  
 

 
« Schalten Sie nicht. » ...

10 commentaires:

  1. Pas mal sa ve dire coi schalten sie nicht?

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  2. "Ne mettez pas" selon google traduction ^^

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    1. J'ai aussi cherché sur Google traduction, ça dit " Ne Tournez pas " '-'

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    2. C'est : Ne te retourne pas ;)

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    3. Contrairement a toutes les traductions sans aucun sens postées...

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  3. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  4. Je fais allemand et je le dit : ne vous retournez pas

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  5. Ich drehte mich um und ich sah nichts ... außer meiner Katze!
    moi je dis, la fin aurait plus de gueule comme ça! XD

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  6. Désolé, mais moi, j'ai fait espagnol xD

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