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mercredi 1 février 2012

La lumière des ténèbres


Bon… Je ne sais pas si écrire cela ici arrangera les choses, mais tant qu’à faire, autant laisser une trace. Je deviens fou. Je pense même au pire… J’en peux plus, je veux tout arrêter là !

Tout commença un jour banal, ‘fin, une soirée entre autre. Oui, car la journée se déroula comme d’habitude, parfaitement. Je suis heureux avec ma petite amie. Jusqu’à maintenant aucune journée n’était désagréable ou quoique ce soit. Bref là n’est pas la question.
Le soir venu, je montai dans ma chambre car je devais éteindre l’ordi, ma mère m’obligeant à aller dormir tôt vu que le lendemain, je dois aller en cours. Il est donc 22h30 environ, il fait très sombre en cette saison. Et plutôt clair la journée. Une pluie très calme et fine tombe dehors.
Quelques jours plus tôt, j’avais envie de nouveau dans ma chambre, changer la tapisserie etc., j’avais opté pour faire deux pans de murs rouges, et ce d’en face en gris. Cela rendrait, et ça rend, très bien.
Par la même occasion, j’ai demandé à ma mère de changer les rideaux pour suivre avec les nouvelles teintes. Donc, ma fenêtre me laissait absolument tout voir avec perfection au dehors. Je regrette désormais ça.
La fenêtre de ma chambre donne face à notre ruelle ( la grand-route se trouvant derrière ), et aussi à une dense forêt, qui descend un peu, genre une fosse immense. Quand j’étais petit je jouais souvent avec des amis là-bas, qu’est-ce qu’on a pu s’éclater dans cet endroit qu’on appelait « Le trou ». Alala…
Notre ruelle justement, est éclairée par des lampadaires à la lumière orange. Or la lumière à un diamètre d’à peu près… 10 mètres. Ça fait donc un espace éclairé comme on le trouverait dans les films d’épouvantes, pour attirer le regard du spectateur, qui pourrait être témoin du festin d’un zombie, ou une autre scène glauque du genre.
Revenons au soir dont je parlais en premier, même si mon PC était éteint, moi et ma Laura continuions de parler un peu par SMS. Je lui avais envoyé en MMS une photo du lampadaire en face de chez moi, vu de ma fenêtre, en lui disant qu’il me faisait peur, que j’avais l’impression qu’une aura … ‘’ Maléfique ‘’ se dégageait de cet endroit précis.
Elle me rassura en me disant que je me fais trop d’idées, et que c’est peut-être à cause de mon style, étant un Metalleux plutôt sombre, il arrive des fois que certaines musiques sont vraiment malsaines etc., je me suis dis qu’elle avait raison. J’étais fatigué aussi.
Je voulais me jeter dans mon lit afin de lui souhaiter une bonne nuit, recevoir une réponse à ça, et fermer mes yeux. Mais d’abord, j’eus envie de contempler le ciel, j’aime bien le regarder, lui et ses étoiles lorsqu’elles sont présentes. Du coin de l’œil, j’aperçus une silhouette, mon regard se tourna de façon vive en direction du lampadaire. Mh ? Une aura sombre qui disparu tel de la fumée. J’me dis que là j’suis vraiment crevé. Bonne nuit chérie, à demain. Elle me répondit de la même façon. Ce qui fait toujours plaisir, aller hop ! Au dodo !


Argh… J’ai eu du mal à dormir. Bof, pas grave. Je me disais que la journée de cours qui m’attendais allait être plutôt pas mal, juste pour le fait que ce midi là, on avait un trou de 3 heures pour manger, et aller se poser quelque part ou faire un tour en ville, surtout qu’avec les potes, on oublie pas mal de problèmes.
C’était justement comme prévu, alala j’me lasserais pas de délirer avec ces types, mis à part quelques gars de la classe que j’aime pas, je m’entend bien avec la plupart. Mais on est surtout un petit groupe à être plus proches.
Le soir même, à la fin des cours, ma copine qui avait finie plus tôt m’avait attendue devant mon lycée. J’étais content de la voir, et je lui ai raconté ce que j’avais cru voir la veille. Elle me répondit juste que je devrais pas me faire ce genre de soucis et que tout était dû à la fatigue que j’accumule. C’est pas faux ça… Mais bon.
6h30, l’heure pour nous de se séparer et de rentrer chez nous. Je lui dis au revoir, chacun partait de son côté, du mien un ami passait par là, on a fait la route ensemble. Je profitais de cet instant pour lui dire à lui aussi ce qui s’est passé cette nuit là. Il m’a dit que je devais être fou. Ouais… je pense aussi.

Passons les détails de la soirée, et allons directement à la nuit.
Pour être certain que tout ça n’était que mon imagination, je me suis remis sur mon appui de fenêtre, à observer. Et là, je revois du coin de l’œil cette silhouette, sauf que cette fois je tourne mon regard tout doucement… Elle ne disparaît pas, je suis effrayé, deux yeux me fixent, deux orifices brillants un peu cachés par une chevelure sombre, une espèce de longue robe au teint vert-gris, sale, je n’aperçois pas ses pieds, pas même ses jambes. Ses bras, aux mains griffues, sont le long de son corps. J’entends comme des chuchotements. Elle est là, sous le lampadaire, éclairée par la lumière orange qui rendait l’instant vraiment effrayant. Je suis sévèrement fatigué où quoi ?! Je me jette sous ma couverture, et m’endors…
Le lendemain matin, je me souviens que je n’avais pas réussi à vraiment dormir correctement, je me sentais… Comme en présence de quelqu’un, tout près. J’ai eu très chaud aussi, comme si une ambiance oppressante régnait dans ma chambre. J’étais juste pressé que la nuit en finisse.

Il était 6h du matin quand je me décida à me lever, exténué, mais j’avais peur de descendre en pleine nuit, peur que quelque chose m’attendrait en bas. J’ai déjà ressenti cette peur, mais pas aussi fort, là c’est comme si mes pires peurs devenaient réelles.
La journée se passe plus ou moins normalement, mes amis m’avaient demandés pourquoi j’avais cette mine. Il est vrai qu’à midi, en me regardant dans un miroir dans les toilettes du lycée, j’avais l’air pâle, des cernes profondes qui résultaient de mon sommeil trop perturbé.
Ma copine aussi n’a cessée de me questionner, j’avais beau lui dire que j’avais vraiment vu quelqu’un, elle ne me crut qu’à moitié, mais elle avait peur elle aussi, car elle sait que je ne consomme absolument rien, et que je n’ai aucun troubles.

Je m’étais préparé cette fois, car je savais que cette entité allait revenir. Mon corps, mon cœur, mon âme, tout en moi était pétrifié par la peur, l’angoisse. Ma poitrine était lourde, lourde et resserrée. Cette sensation là, je ne l’oublierais que quand mes jours seront finis, et encore…
En attendant la nuit, j’alternais entre mon téléphone portable, et aussi ma bonne vieille GameBoy Advance SP, sur laquelle je jouais fièrement à mes jeux Pokémon. Ça m’a fait un peu de bien. Mais ce n’était qu’éphémère.
Je monte, sans être changé, j’étais resté habillé, au cas où.
Plus je m’approchai de ma fenêtre, plus mon pas se ralentissait, et mon rythme cardiaque lui, accélérait. Putain… J’y suis, allez, j’ouvre les yeux, et elle est là… Toujours en train de me fixer… Toujours les même chuchotements… Mais plus clairs cette fois, je referme mes yeux pour me concentrer. C’est comme si elle me suppliait de venir, je ressentais la mort à travers ces mots. Mais je n’ai pu qu’y aller, seul, armé de mon courage, du moins… Ce qu’il en reste.
Je descends les escaliers, ils ne grincent pas, et je n’entends personne ronfler. Ou alors sont-ce juste les voix dans ma tête, au passage qui étaient quasiment inaudibles, qui couvraient tout les bruits aux alentours ? Une fois en bas, je me dirige vers ma cuisine pour sortir, je ne me couvre pas, j’ai bien trop chaud à cause de l’angoisse. Mon chien était là, couché, sauf qu’il avait l’air recroquevillé, comme s’il sentait quelque chose, je m’agenouille, le caresse, il gémit. J’ai pas l’habitude qu’il soit ainsi… Une chose de plus pour rendre l’atmosphère plus étrange.
Je tends la main vers la poignée de porte, je ne sais pas l’avancer davantage. Je regarde par la fenêtre de la porte, je vois l’allée de ma cour, vide, sombre. De là je ne vois pas la zone du lampadaire. Dans un élan j’ouvris la porte, puis la referma derrière moi. Une fois le seuil franchi, il y avait comme un son sourd, ou alors très bas dans les graves. Ma tête, j’avais mal. Je fixe le portail en face de moi, sans me soucier de ce qui se passait à ma gauche, je ne voulais pas voir pour l’instant. Les voix toujours présentes me suffisent, elles deviennent de plus en plus claires. ‘’ Viens… ‘’
Bon dieu, mon pas est lourd, mais je me dirige quand même jusqu’à la poignée du portail, le déverrouille, puis tourne doucement la poignée, qui ne produit aucun son. Je me retourne, à ma gauche, elle est là. Là… Là tout près… Tout à coup, arrive un orage, un orage seul, juste des éclairs et des grondements sourds. Une larme coula le long de ma joue lorsqu’un éclair illumina la face horrifiée de ce qui pouvait ressembler à une fille, ses yeux inspirent la mort. Sur le coup, ma peur ne pouvait pas aller plus loin, j’étais déjà terrifié.
Elle ne bougea pas un moment, moi non plus, je suis là, pétrifié. Puis elle s’approche lentement, je n’ose pas bouger. Elle me chuchote de rester calme. Je ne regarda que le bas de son corps, ses jambes étant… Absentes. Elle est désormais à ma droite. Oh mon dieu… Elle parla d’un ton froid, « Viens, je veux juste m’amuser, viens voir ce que je veux que tu vois… »
Elle ria doucement, sadiquement. C’était comme si je n’avais plus un contrôle total sur moi-même. Je la suis, nous remontons la rue, je la sens flotter à côté de moi, me demandant à quoi j’avais à faire, un spectre ? Un fantôme ?..

Nous arrivons en face de l’endroit où je jouais avec mes amis dans le passé. Merde, des cris ? Des plaintes ? Je reconnais les voix …
Ce sont eux, ceux avec qui j’étais présent des années en arrière. Tout ce que je voulais, c’était faire demi-tour. Mais elle m’en empêcha, j’étais prisonnier, nous approchons de l’espèce de descente, bon dieu de merde … Sur la terre gît un bras, il semble avoir été arraché, comme si quelqu’un avait tiré dessus pour l’extraire du corps, j’avais des nausées, mais le pire était à venir.
Du haut d’où je me trouvais, je voyais des membres dissimulés, des corps mutilés, tout était éparpillé. La fille à mes côtés souriait, ses mains tremblaient comme si elle était en manque de quelque chose. Je ne saurais vous dire les sentiments que j’éprouvais à ce moment là. Ça dépassait l’horreur ou l’état de choc.
Je ne pensais qu’à une chose, mourir, cesser ce spectacle atroce. Mais je ne pouvais pas, j’avais beau me dire que tout cela n’était qu’un cauchemar, ce n’était pas vrai. J’aperçus un corps ramper à mes pieds, je le regarde.
Et là, horreur ! C’est l’un de mes amis d’enfance ! NON ! Ses jambes avaient l’air d’être coupés à la hache, on s’était défoulé dessus, il perdait son sang en grosse quantité. Son corps et sa tête aussi étaient recouverts de balafres, après une soudaine réalisation, je me suis mis à crier, crier comme je ne l’aurais jamais fais, je pleurais toutes les larmes de mon corps en remarquant que d’autres de mes amis étaient victimes d’un fou furieux.
« Ahahahahaaaaa !... C’était tellement amusant tu sais ! Tu aurais du voir leur tête quand je leur ai désassemblée le corps ! Les entendre hurler de douleur quand je brisais leurs os ! Kekeke ! »
C’était elle, c’était elle qui était responsable de tout ce massacre. Son rire sadique me perça les tympans, et me fit perdre l’équilibre, j’essayai de me sauver à plat ventre. Je ne pouvais que faire ça, j’étais paralysé, d’un coup net, toutes les images des corps défilèrent dans ma tête, je vis tout dans les détails, je vomi mes tripes par dégout. Pourquoi ça ne s’arrêtait pas ? POURQUOI ?!
J’ai réussi à me lever, je ne pensais qu’à me sauver très loin. Je pris mes jambes à mon cou et courra aussi vite que je le pouvais, laissant derrière moi la fille qui riait toujours de ses actes inhumains, et la scène morbide dont j’étais témoin.
La grande route était déserte, pas de voitures qui passaient, ni même garées. Alors que des gens habitent ici et leur voitures sont tout le temps présentes ! Là se trouvent les même lampadaire que dans ma rue, un seul éclairait. Je me dirigea vers ce dernier, au loin, à travers une brume qui commençait à tomber, je vis une silhouette, mais pas comme celle de la fille. Celle-ci aussi flottait mais elle avait des jambes.
Je couru aussi vite que je le pouvais, chose que je n’aurais pas du faire. Une personne était pendue à ce lampadaire. Une personne qui m’était proche… On lui avait griffés les yeux, et on pouvait voir les globes oculaires hors de leurs orbites, ils pendaient par un nerf. Je ne pouvais plus crier, plus pleurer. J’étais vide, j’étais dans un état d’inconscience en quelques sortes. Les évènements précédents m’ayant trop marqués, plus rien ne pouvait empirer mon était d’esprit désormais.

J’utilisai mes dernières forces pour courir vers ma maison, où je pourrais peut-être avoir un minimum de sécurité. Une lumière était face à moi, elle avançait en même temps, à la même allure, dans la même direction, mais était toujours fasse à moi. On dit toujours qu’il y a une lumière dans les ténèbres, qui représente une lueur d’espoir.
Une fois au milieu du chemin, la fille m’attendait, je m’approche d’elle en l’implorant de me dire ce qu’il se passe. Elle ria puis me répondit d’une voix étrangement douce ;
« Kekeke… J’espère que tu as apprécié ce doux moment, tu sais, j’ai mis beaucoup de temps à torturer tes si précieux amis… Kekeke… J’espère aussi que tu te souviendras de ça, car vois-tu, tout cela était aux frontières du réel et de l’irréel. Je voulais m’amuser, mais tu m’ennuie désormais. Tu n’as plus qu’à te r- »
On m’avait frappé à la tête. Lorsque je me réveilla, j’étais à l’hôpital. Mes parents, mon frère, ma petite amie, étaient présent. Tous à mes côtés. J’avais beau les questionner, ils ne voulaient pas me dire ce qu’il s’était passé exactement, je ne l’ai jamais su, et je ne le saurais jamais. Tant mieux.
Pour une raison inconnue, je devais rester à l’hosto deux à trois jours. Heureusement que ma copine restait avec moi pendant la plupart du temps, et elle dormait avec moi. Bon sang… Je me suis senti si bien, j’étais si rassuré, mais j’avais encore peur, j’étais encore dégoûté. C’est pas grave. Je me disais que rien ne s’était passé. Hormis la bosse que j’ai à l’arrière du crâne, mais qui sait ? Je me suis peut-être cogné de moi-même ?
La deuxième nuit je me réveilla aux alentours de 2 heures du matin, ma perfusion me gênait beaucoup, en tournant ma tête, il y avait cette grande fenêtre. Je ne crû pas ce que je pouvais voir, sa tête était là, elle me souriait, oh non pitié… Il ne faut pas que ça recommence !
Sans prévenir, elle disparue pour de bon. J’ai eu du mal à parler pour réveiller Laura. Une fois fait, elle appela une infirmière qui a arrangée ma perfusion, Laura s’était rendormie net. L’infirmière sortie de la chambre, et en fermant la porte, elle me sourit de la même façon que le faisait la petite fille. Je me mis à oublier cet instant, et retrouva le sommeil.
Lors de ma sortie, il n’y avait plus la présence de cette infirmière. Bof, pas grave, je suis loin de cet endroit désormais.

Et là, me voilà entrain de raconter ça. Me voilà à ne pas savoir quoi faire. Je veux vivre, mais pas dans la peur. Je vais sans doute suivre un traitement. Espérons que tout aille pour le mieux. Et faire en sorte d’oublier cette fameuse nuit…

Auteur : Darkness_Wolf

NOMNOMNOMNOM ! More OC !!! Feed me, i'm hungry !!! I could eat an Octorock !

* Tousse *

Erm... Bref... Je sais où est la sortie...

16 commentaires:

  1. L'histoire en elle même est sympa mais mal racontée.
    J'ai eu du mal à comprendre certains moments, faute à une concordances des temps un peu douteuse ainsi qu'une ponctuation un peu maladroite (ça fait p't'être un peu trop prof de français comme critique, non ?).
    Enfin bref, c'était quand même sympatoche à lire !

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    1. Merci de ton commentaire.
      Disons que j'ai écris ça sur un coup de tête en deux/trois heures. Je me suis un peu emmêlé les pinceaux oui.
      Mais bon. Pour un premier essai je suis pas trop insatisfait.

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  2. J'aurais tendance à dire la même chose, quoique les défauts ne m'ont pas trop gêné pour comprendre.

    Ceci dit, il y a de l'idée, ça reste du grand classique de pasta, mais je n'ai pas ressenti cette furieuse impression de déjà-vu que j'ai eu avec pas mal de publications récentes.

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    1. Yep, surtout que c'est la " grève " niveau pastas françaises sans arrière-goût de déjà vu et pour les traductions que je fais, ça avance pas très vite depuis que j'ai repris WoW récemment mais il me reste cinq paragraphes à traduire pour une pasta sur KH et je la publierai dés qu'elle sera entièrement traduite.

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    2. Ton commentaire me fait plaiz'. :)
      C'est effectivement avec la Pasta récente sur RE4, que j'ai eu cet effet de déjà vu. Dommage, les RE sont un puit à inspiration.

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    3. De rien, faut dire que je suis moi-même metalleux, je me reconnaissais un peu dans le personnage ^^

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    4. Héhé ! :D

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  3. D'après la creepypasta tu serait pas plutôt Black Metalleux :D ?

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  4. j'aimerais bien comprendre plus sur le tuer qui c pourquoi il a fait sa

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  5. Je pense que le fait qu'il soit métalleux a rajouté un petit plus à la lecture. D'habitude, quand je lis une pasta, je m'imagine un type lambda, toujours le même, ce qui amoindrit mon empathie pour lui.
    Mais enfin, tu aurai pu profiter de son statut pour lui faire faire des trucs en plus en rapport avec le métal, par exemple casser des vitres, agresser des passants, brûler une église, invoquer un démon,.... A non pardon, ça c'est les joueurs de D&D! ;p

    VB

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  6. Bah c'est juste mauvais rien d'autre a dire.

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  7. OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOHH!!!
    Qui va venir niquer la grammaire?
    BOB L’ÉPONGE CARRÉE!!

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  8. Je sais pas trop comment dire... Le récit est vaguement décousu, le narrateur ne raconte pas tout le temps l'histoire de manière linéaire (mais bon c'est pas le plus choquant...). En fait le pire c'est la grammaire qui, bah, clairement, m'a fait verser des larmes de sang. U_U
    Ikari

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  9. On est sensé voir quoi sur la putain d'image ?

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  10. Les évènements précédents m’ayant trop marqués, plus rien ne pouvait empirer mon était d’esprit désormais.

    Pardon ?

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